Pourquoi un entrepreneur, ou même un groupe de travailleurs :
- ayant trouvé une façon leur étant propre d'être à la fois efficaces et épanouit
- dans une tâche qu'ils ont reconnu comme satisfaisant à un besoin et donc une clientèle
- ayant même trouver les partenaires de financement leur correspondant (assurant la pérennité et l'indépendance qu'ils souhaitent...)
-et aussi en mesure de satisfaire aux diverses obligations normatives (qualité, sécurité, etc..) mise sur pieds par les législateurs,
s'encombrerait-il de la supervision extérieure d'une soi-disant société civile ou de représentants d'un bien dit commun qui risquent fort de comprendre encore moins qu'eux quelque chose à leur entreprise ?
Au travers de cette question, je vois se profiler une société civile qui est à l'opposé de ce que j'imagine et qui risquerait d'être un clone de l'État exécutif. Je crois que l'on peut imaginer autre chose et je l'ai esquissé dans la deuxième partie du billet Société civile et pouvoir exécutif, à lire dans la rubrique Blog.